5 août: la fête d’anniversaire d’Héritier Nosso dédiée à ses deux parents

 

C’est un anniversaire hors du commun qui a été célébré lundi 5 août à Lewiston, une ville américaine située dans l’État du Maine.
Pour que ce jour compte, Héritier Nosso, talentueux consultant en business, taxes et immigration chez Immigrant Resource Center of Maine, a réuni ses amis et collègues de service autour d’un banquet.
Il s’agissait d’un repas concocté pour rendre hommage aux sacrifices consentis par ses  deux parents.

Veste chic et sobre, c’est un héritier Nosso évidemment tout sourire qui a festoyé et profité d’un moment autour d’un gâteau, la plus belle façon de souffler une nouvelle bougie.

La célébration était aussi le moment rêvé pour raconter à ses convives quelques anecdotes relatives à sa tendre enfance passée à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo.

Une heure trente plus tard, héritier Nosso était obligé de dire  » Good bye » à ses invités de marque à travers un texte de Marc Grey, qui par son originalité, laisse admiratif et réchauffe les cœurs de tout ceux qui ont perdu les êtres chers.

Au finish, les amis et collègues se sont levés pour un standing ovation.

Honoré et satisfait, Maître héritier dit saluer à la fois la disponibilité et l’affection témoignée.
.Un geste mémorable.
 »C’est précieux de retrouver une telle ambiance, de telles choses. C’est formidable !  » s’est-il exclamé.

Et d’ajouter :
 »Je suis très ému de retrouver mes amis et collègues de service qui ont accepté de laisser leurs occupations pour venir partager avec moi ce moment inoubliable  ».

Mister Héritier témoigne que l’ambiance était festive.

Voici l’intégralité du poème de Martin Grey déclamé par Héritier Nosso

 » Être fidèle à ceux qui sont morts
Ce n’est pas s’enfermer dans la douleur.
Il faut continuer de creuser son sillon, droit et profond.
Comme ils l’auraient fait eux-mêmes.
Comme on l’aurait fait avec eux, pour eux.

Être fidèle à ceux qui sont morts, c’est vivre comme ils auraient vécu.
Et les faire vivre avec nous.

Et transmettre leur visage, leur voix, leur message, aux autres.
À un fils, à un frère, ou à des inconnus, aux autres, quels qu’ils soient.
Et la vie tronquée des disparus, alors, germera sans fin.

La rédaction

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